03/10/2022
Article magazine

Marie-Laure Belli,
Responsable des programmes Expérience Client et Collaborateur – Banque des Territoires

Diplômée de l’Edhec, Marie-Laure Belli débute sa carrière dans le Retail où l’Expérience Client est au cœur de ses missions. Formée à l’Approche Neurocognitive et Comportementale, une approche issue des neurosciences pour un management durable, elle accompagne des entreprises qui font de l’humain un levier de performance dans leur transformation. Elle rejoint en 2020 le pôle Marketing de la Direction Stratégie Digitale de la Banque des Territoires et assure depuis 2022 la fonction de Responsable des programmes Expérience Client et Collaborateur pour insuffler cette même dynamique.

L'intelligence adaptative, une autre intelligence pour penser la relation client du futur

Du Marketing aux RH, la crise sanitaire a été un incroyable accélérateur des grandes tendances de la digitalisation de la relation client et/ou collaborateur vers plus d’autonomie, plus d’omnicanalité et plus de data.

Elle a aussi confirmé que tout ne peut pas se prédire ou s’anticiper et qu’il faut accepter une part d’incertitude. L’apport de la mesure, des personae, des process, des tunnels d’acquisition, des KPI ne suffisent plus et peuvent être aussi un frein à la créativité ou à l’innovation. Il est donc important de revenir à la réalité de ce qui est au cœur de la relation : l’humain, l’émotion et la confiance.

Le contexte actuel nous invite à faire un pas de côté pour se poser les bonnes questions et construire la relation client du futur : comment faire le grand écart entre digital et physique, entre métaverse et émotions, pour toujours plus d’expérience et de personnalisation ? Et si le futur de la Relation Client était le client lui-même ?

Tout processus de transformation digitale, qui vise à implémenter le numérique au sein d’une organisation pour une meilleure performance opérationnelle et efficacité relationnelle, atteint paradoxalement ses limites. En effet l’organisation requiert de plus en plus de compétences qu’il est important de développer pour maîtriser autant les process et les outils que le changement lui-même. La conduite du changement doit tenir une place prépondérante dans tout projet de transformation.

Et dans cette hypothèse, le client et le collaborateur sont des facteurs de stabilité et des leviers majeurs pour se prémunir de la volatilité de l’environnement, pour amortir les « chocs », pour s’adapter et assurer l’activité économique.

En effet notre environnement est devenu imprévisible, instable, complexe et interconnecté, et notre difficulté d’adaptation à ce monde qui évolue sans cesse provoque du stress. La réaction naturelle et spontanée de l’humain consiste alors à fuir, à lutter ou se décourager entraînant de l’anxiété, de la colère ou de l’amertume, bien loin d’un état de calme et de sérénité propice à la curiosité, à la créativité ou à la prise de décision.

Face à un tel constat, comment peut-on créer des conditions favorables d’engagement collaborateur ou de satisfaction client ?

Autrement dit, comment développer les capacités des hommes et des femmes d’une organisation, et de l’organisation elle-même, à anticiper et s’adapter sereinement et en temps réel à cet environnement en perpétuelle mutation ? L’intelligence adaptative est une forme de conscience élargie qui mobilise tous nos sens, nos mémoires, en intégrant les informations reçues de l’extérieur et de l’intérieur, c’est à dire de notre propre vécu, pour agir en conséquence face à une situation inconnue ou non maîtrisée.

C’est le développement d’une aptitude d’accueil et d’exploration de l’inconnu, puis d’itération de réponses créatives et adaptées à la situation, tendant à créer un nouvel état d’esprit plus curieux et plus souple, laissant place à la nuance, la relativité, la réflexion ou l’assertivité.

Au niveau du collectif de travail et de l’organisation, l’Intelligence adaptative permet la pleine expression des talents en mobilisant les ressources intrinsèques d’un collaborateur, de responsabiliser les acteurs de l’organisation sur leurs missions en réduisant les causes du vécu d’échec, de faire converger toutes les énergies vers l’objectif de l’organisation, d’accélérer l’adhésion et l’engagement des équipes dans les projets de transformation, et aussi de créer les conditions pour un fonctionnement centré sur la satisfaction du client.

La Relation Client reste avant tout une aventure collective et humaine dont l’enjeu est de satisfaire les besoins tout en créant des émotions positives ou agréables pour le client. C’est pourquoi construire la Relation Client du futur nécessite d’avoir une compréhension plus avancée de nos émotions (client et/ou collaborateur), de sensibiliser les clients avec un niveau de communication adapté à leurs besoins et de les impliquer plus en amont dans tous processus de création.

Dans l’univers complexe des territoires, l’expertise de la Banque des Territoires constitue un point d’ancrage fort (produit, montage financier…) et on note la volonté des acteurs des territoires de travailler davantage en réseau et de capitaliser sur les expériences d’acteurs comparables. Des attentes croissantes s’expriment vis à vis de la Banque des Territoires pour donner de la visibilité à des projets, voire animer des écosystèmes.

Dans un monde de plus en plus dominé par les plateformes, c’est l’Expérience Client qui prime désormais sur d’autres valeurs ou critères d’évaluation de l’entreprise et des marques. Nous sommes passés de marques « communicantes » à des marques « conversationnelles », ce qui renforce la fonction identitaire de chaque marque. L’écoute est d’ailleurs identifiée par l’agence Toluna comme un des facteurs d’engagement avec la qualité de services.

Au travers des études que nous menons à la Banque des Territoires, voici quelques grandes tendances qui peuvent inspirer la relation client du futur

1. Plus d’ACCESSIBILITÉ.

En ce qui concerne les modes relationnels, la capacité à joindre un conseiller est clef ; et ce dernier doit pouvoir être identifié facilement tout au long de la relation. Cependant en ce qui concerne le besoin de s’informer, une part importante des clients souhaite s’informer par eux6mêmes sur le site, puis contacter si besoin un conseiller ; d’où l’importance de trouver facilement l’information.

2. Plus de PROXIMITÉ.

En ce qui concerne les mailings par exemple, la proximité géographique reste une valeur sûre ; et les clients apprécient un mailing commercial signé par l’entité qu’ils connaissent le mieux, souvent la plus proche.

3. Plus de SIMPLICITÉ.

Une attention croissante est donnée à la simplicité dans toutes ses dimensions. Par exemple, la posture facilitatrice du conseiller doit contribuer naturellement à cette perception de simplicité. Les clients souhaitent que les conseillers simplifient leur langage, se mettent « dans les chaussures » du client. Cette valorisation de la simplicité s’exprime également dans les attendus vis-à-vis des sites internet. Les clients s’attendent non seulement à trouver rapidement les informations essentielles dont ils ont besoin mais également à un niveau de langage adapté à leur niveau d’expertise ; d’où une difficulté potentielle si le site vise un public très hétérogène, notamment grand public et professionnels.

4. Plus de PERSONNALISATION.

Les clients cibles exigent de se reconnaître de plus en plus comme les destinataires uniques des communications et des services. Ils souhaitent une relation non polluée par des informations adressées à d’autres cibles. Ainsi l’espace personnel du client devient naturellement un axe à prioriser dans l’évolution d’un modèle « Business as a plateform » au-delà d’un site tout public qui atteint ses limites en termes de segmentation, de parcours et d’expérience personnalisée.

Face à ce constat et ce qui la distingue, être au service de l’intérêt général, la Banque des Territoires est en train de muter vers un nouveau modèle relationnel qui s’appuie principalement sur ces quatre tendances. Cela se traduit concrètement par la multiplication des canaux de communication pour une véritable relation client omnicanale sans couture, qui doit devenir la norme en termes de Relation Client.

Partenaire des Palmes de la Relation Client

La Banque des Territoires est une marque de la Caisse des Dépôts créée en 2018. Elle propose des solutions sur mesure de conseil et de financement en prêts et en investissement pour répondre aux besoins du Secteur Public Local, des Organismes de Logement Social ou des Professions Juridiques. Elle est un point d’entrée unique qui s’adresse à tous les territoires, depuis les zones rurales jusqu’aux métropoles, avec l’ambition de lutter contre les inégalités sociales et les fractures territoriales. Elle est déployée dans les 16 directions régionales et les 35 implantations territoriales de la Caisse des Dépôts.

10/02/2022
Publication AFRC

Entretenir le lien au travail malgré la distance

Cette édition a pour objectif de déceler les nouvelles attentes et besoins des salariés en matière de lien avec leur entreprise ; de comprendre comment les entreprises s’adaptent et améliorent les conditions de travail, organisation et ambiance au bureau pour entretenir le lien ; d’étudier quels outils ont été mis en place pour garder le lien avec les salariés à distance et leurs limites.

Extraits du baromètre

Le bureau, un espace où revit le collectif et l'engagement

Une partie des salariés à distance en manque de lien social reviennent avant tout au bureau pour revoir leurs collègues.

56%

des télétravailleurs se sentent plus engagés lorsqu’ils travaillent au bureau.

61%

ont le sentiment d’être plus efficaces dans leur travail d’équipe

46%

des collaborateurs aimeraient par ailleurs trouver en se rendant dans les locaux un espace où l’on sent faire partie d’une entreprise

12/01/2022
Article magazine

S’il ne fallait choisir qu’un seul mot pour décrire l’avenir de la Relation Client, ce serait « immersif ». Les technologies, les approches et les expériences immersives vont transformer les possibilités des marques en matière d’engagement et de fidélisation client. Lors d’un récent webinar organisé par Comdata au sujet du métavers, Joël Hazan, Directeur associé au Boston Consulting Group, a déclaré que les technologies immersives constituaient un levier clé de différentiation laissant entrevoir des perspectives nouvelles pour les marques, mais aussi des défis à relever.

Mehdi Benabdallah, Chief Marketing Officer chez Comdata revient sur la place du métavers dans la Relation Client.

Mehdi Benabdallah, Chief Marketing Officer – COMDATA

Le métavers, qu'est-ce que c'est ?

L’Expérience Client que nous pourrons vivre dans un futur proche pourrait passer par l’évolution vers le Web3, dont le métavers est un constituant clé. Le métavers est souvent décrit comme un environnement immersif et interactif où les individus peuvent travailler, jouer, se rencontrer, acheter, apprendre et bien plus encore.

Différents acteurs sont à l’origine de ce nouvel environnement, des géants du secteur tels que Meta, des plateformes de jeux vidéo communautaires comme Fortnite et Roblox, ou encore des « pure players » comme Decentraland et The Sandbox. Ils connaissent tous une croissance rapide de leur nombre d’utilisateurs qui devrait continuer à augmenter dans les prochaines années.

De nouveaux usages pour la Relation Client

Si l’évolution du métavers a, jusqu’à présent, principalement été portée par les jeux vidéo, nous observons aujourd’hui que les usages se multiplient rapidement. Les secteurs de la musique, du luxe, de la mode, de la beauté, du sport ou encore de la grande distribution, tentent de proposer des expériences immersives pour accroître l’engagement envers la marque :

Des artistes comme Ariana Grande, Travis Scott et Lil Nas X ont donné des concerts virtuels sur les plateformes Fortnite ou Roblox regroupant des milliers de spectateurs

Dans le secteur du luxe et de la mode, l’événement « Gucci Garden » sur Roblox a attiré 19 millions de visiteurs, tandis que Ralph Lauren, Zara et d’autres marques ont créé des collections de mode virtuelles sur Zepeto permettant aux utilisateurs d’habiller leur avatar. Dolce & Gabbana a organisé la toute première Metaverse Fashion Week en mars 2022 sur Decentraland.

McDonalds a déposé des marques et brevets pour ouvrir des restaurants virtuels qui, au-delà de vendre des hamburgers virtuels et des NFT, livreront également de vrais hamburgers à domicile.

Les géants du football, comme le Real Madrid, le PSG et Manchester City, font partie des clubs qui explorent les diverses possibilités offertes par le métavers et le Web3. Que ce soit des visites virtuelles de stades, l’utilisation d’avatars digitaux ou la vente de NFT proposant des contenus multimédias pour que les fans puissent interagir.

Le secteur des services financiers fait également son entrée dans le métavers, à l’instar de JP Morgan et HSBC qui ont acheté des parcelles digitales afin d’ouvrir des agences virtuelles dans Decentraland et The Sandbox

→ Le point commun entre toutes ces initiatives est qu’une utilisation intelligente du métavers permet aux marques de renforcer la relation qu’elles entretiennent avec leurs clients et fans.

Dans la pratique, il s’agit pour elles de concevoir des expériences différenciées et gamifiées pour accroître leur notoriété, l’engagement et la fidélisation de leurs clients. Le métavers pourrait aussi être utilisé comme un nouveau canal de distribution de produits virtuels et physiques ou permettre de proposer des expériences plus immersives et personnalisées pour le service client ou l’assistance technique.

L'économie des créateurs, qu'est-ce que c'est ?

Un autre aspect essentiel de l’avenir de la Relation Client est l’économie des créateurs. Alors que le web 2.0 permet aux internautes de lire et de créer du contenu en ligne par l’intermédiaire des réseaux sociaux, sites Internet, etc., le Web3 va plus loin en leur permettant de « créer de la propriété » grâce aux services basés sur la blockchain.

Cette « évolution de la propriété » que l’on observe avec le Web3 transforme la façon dont les créateurs de contenu peuvent monétiser leur créativité. Auparavant, ils avaient principalement recours à la publicité, au parrainage (via des plateformes comme YouTube ou Instagram) ou à l’abonnement (OnlyFans, Substack, Patreon ou Twitch). La blockchain ajoute une autre dimension en leur permettant notamment d’authentifier, de partager, de vendre des actifs digitaux, tels que des œuvres d’art ou autres objets de collection, et de créer de la rareté s’ils le souhaitent.

Comment les marques vont profiter de l'économie des créateurs ?

Selon une récente étude réalisée par Influencer Marketing Hub, 50 millions de créateurs gagnent aujourd’hui en partie ou pleinement leur vie grâce à la création de contenu.

Ce sont des acteurs importants pour les marques car un grand nombre d’entre eux établissent des relations directes avec leurs fans, leurs abonnés ou leur communauté. Ces relations peuvent être mises à profit comme un complément aux canaux traditionnels du marketing, de la publicité et de la notoriété de marque. Par ailleurs, leur contenu est souvent perçu comme plus divertissant et « authentique ».

Cette authenticité traduit la portée de ce nouveau canal, bien au-delà des considérations purement quantitatives de reach marketing. La relation créée avec la marque permet de tisser des liens plus forts et de porter des messages plus « intimes ».

En définitive, le développement de cette économie de créateurs pourrait être perçu comme un risque pour les marques. Mais de l’autre, c’est une formidable opportunité de collaboration. Les créateurs de contenu peuvent aider les marques à atteindre les jeunes générations ou communautés auxquelles elles ont souvent difficilement accès. Par exemple, Twitch, qui compte environ 300 000 streamers professionnels, peut constituer un point d’entrée dans la communauté des joueurs.

Web3, les défis à relever

Pour saisir ces nouvelles opportunités, les marques et leurs partenaires doivent relever un certain nombre de défis.

Le premier concerne la modération et la réglementation des contenus dans les nouveaux univers du Web3. Dans cette nouvelle version décentralisée du web, qui voit le nombre de créateurs de contenu et de communautés augmenter de jour en jour, il semble quasiment impossible d’appliquer les approches de modération traditionnelles. Il sera peut-être nécessaire de réglementer les comportements, et non uniquement les contenus. Cela pose notamment la question de la légitimité de ceux qui seront amenés à déterminer quels comportements sont acceptables ou non.

Le deuxième défi réside dans la capacité des marques à créer une relation de confiance. Il faut pouvoir apporter des garanties quant aux problématiques clés que sont le respect de la confidentialité, la sécurité des données, la protection des mineurs ou encore la lutte contre la fraude (escroquerie, usurpation, etc.). C’est une condition sine qua non pour faire du métavers un espace d’expériences positives et développer son usage.

Enfin, l’interopérabilité apparaît comme un sujet majeur. Le métavers étant encore en pleine évolution avec des acteurs qui optent pour des directions différentes, il est impossible de deviner quelle(s) plateforme(s) ou modèles économiques s’imposeront. Compte tenu de cette incertitude, la capacité à transférer des actifs digitaux entre plusieurs mondes interopérables permettrait de protéger les consommateurs.

Les marques doivent ainsi s’ouvrir à l’expérimentation et évaluer les différentes approches. Au-delà des technologies, c’est bien la pertinence des cas d’usages qui permettront l’adoption par les consommateurs et donc le développement de ce nouveau modèle expérientiel. Plus que jamais, les marques auront besoin de partenaires experts et innovateurs pour les aider à explorer ces nouvelles possibilités et nous nous réjouissons chez Comdata de vous accompagner pour imaginer le futur de la Relation Client.

partenaire des Palmes de la Relation Client

09/10/2021
Publication AFRC

Zendesk et ESG Research se sont associés pour identifier les clés de la maturité l’expérience client (CX) et les secrets des entreprises championnes de la CX. Lisez le rapport pour savoir où en est votre équipe.

Rapport Zendesk x ESG; maturité de l'Expérience Client
09/04/2021
Publication AFRC

Les entreprises peinent à relever les défis croissants liés à l’engagement client En plus de la pression déjà présente, la pandémie de 2020 a fait émerger de nouveaux enjeux.Le comportement des clients évolue, leurs attentes augmentent et ils :
• Optent en premier lieu pour le digital à un rythme effréné ;
• Préfèrent le libre-service et les réseaux sociaux ;
• Attendent des interactions vécues, pertinentes et authentiques, et si possible avec une assistance humaine.

Pour en savoir plus, téléchargez l'étude

VERINT; etude engagement client

Extrait

IA : De grands espoirs, mais les cadres dirigeants veulent des résultats

L'innovation rapide de l’intelligence artificielle et de l'apprentissage automatique modifient la façon dont les entreprises travaillent, en façonnant l'avenir de l'engagement client.

L'IA a le potentiel pour susciter un meilleur engagement tout en réduisant constamment les coûts, permettant ainsi aux entreprises de proposer des expériences différenciées et d'optimiser le contact humain à l'échelle de l’entreprise. Pour de nombreux dirigeants, l'IA ne tient pas encore ses promesses.

30/01/2021
Publication AFRC

Etude PWC – AFRC

Etude satisfaction client: Tendances et leviers pour améliorer la satisfaction client

Pour la deuxième année consécutive, PwC et l'AFRC ont mené une étude sur les leviers améliorant la satisfaction client.

L'année 2020 a souligné l'importance cruciale de la satisfaction client, reflétant directement la qualité du service offert par les entreprises. En cette période de crise sanitaire, certaines entreprises ont su maintenir une satisfaction client élevée en s'adaptant avec réactivité.

La crise a également rappelé l'importance de l'aspect humain dans la relation client, même si le digital reste un outil d'efficacité.

L'étude identifie quatre priorités majeures cette année, mettant en avant la nécessité pour les entreprises d'adopter une position responsable, d'améliorer la gestion des retours clients, d'exploiter les insights des employés sur le terrain, et de structurer efficacement les données 360°.

Extrait

Investissement en ressources et outils au service la satisfaction client

La majorité des entreprises misent sur le développement de leur capital humain et l’amélioration de leurs outils de travail afin de développer la satisfaction de leurs clients.

Toutefois, encore peu d’acteurs investissent de manière géométrique entre leurs clients et leurs employés : 16% investissent dans l’écoute de la voix des employés contre 80% dans la voix des clients.

25/01/2021
Publication AFRC

Pour la troisième année consécutive, KPMG présente son baromètre de l'expérience client, une étude réalisée dans 26 pays selon les 6 piliers : intégrité, personnalisation, résolution, attentes, temps & effort, empathie.

Dans ce contexte particulier, le baromètre France met en avant des marques et secteurs qui ont su s'adapter pour maintenir voire renforcer la qualité de l'expérience client.

Les champions 2021 se sont distingués en améliorant les parcours avec une intégration fluide des canaux digitaux, ont su rebondir face à la crise, et continuent de répondre aux défis environnementaux.

Avec un consommateur 2021 aux attentes différentes, adeptes des canaux digitaux, mais toujours attaché aux contacts humains et aux interactions personnalisées, chaque marque doit relever le défi de comprendre et d'engager ce nouveau client.

Quelques chiffres

Etudes

Etude Cision en partenariat avec l’AFRC

Retrouvez le quatrième baromètre Cision sur l’après deuxième vague : janvier / février / mars 2021

Cette nouvelle édition fait suite au troisième baromètre sur la période octobre-décembre 2020 ; il revient sur les évolutions des valeurs et tendances plébiscitées par les consommateurs, les salariés et les entreprises sur le début de l’année 2021.

 baromètre cision 2021

EXTRAIT

Les valeurs du baromètre 4

25/09/2020
Publication AFRC

Etude Critizr

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Découvrez les résultats d’une enquête auprès des Retailers français et britanniques sur les nouveaux parcours client à l’heure du COVID-19

QUELQUES CHIFFRES

12/08/2020
Publication AFRC

Relation Client et COVID-19 : enseignements et perspectives

En effet, selon une étude réalisée par innso, les entreprises qui ont réussi le mieux pendant la crise Covid sont celles qui avaient déjà commencé à repenser leur approche de l'Expérience Client.

Elles ont su maintenir des liens solides avec leurs salariés et leurs clients, démontrant ainsi l'importance de l'adaptation et de l'innovation dans ce domaine.

Cette étude met en lumière l'impact crucial de l'Expérience Client dans la résilience des entreprises face à des périodes de crise comme celle que nous avons traversée.

Relation Client et COVID-19 : enseignements et perspectives